Programme de groupe jeunes

Je propose deux types d’interventions pour les plus jeunes : l’éducation positive et l’éducation affective relationnelle et sexuelle.

Pour cela je me déplace dans les structures, Centres aérés, CLSH, Colonies de vacances, Maison de la jeunesse et de la culture, et autres Structures d’accueil.

Je propose également des programmes en distanciel.

+Education positive

Elle peut apporter des réponses au mal-être, aux idées noires, au manque de confiance et d’estime de soi générés par le harcèlement, la violence, l’agression, l’abus, ou l’emprise. Lors d’ateliers d’une heure trente à deux heures je propose de commencer par questionner le ressenti. Se poser la question de comment je me sens, honnêtement et humblement, est le début d’un nouveau cheminement. Puis nous explorerons comment ajouter de l’optimisme, du bonheur et de la motivation dans la vie. Nous fonctionnerons essentiellement avec des discussions et des interactions. Chacun aura la liberté d’exprimer ses convictions et ses valeurs. Et chacun aura le devoir d’écouter respectueusement les convictions et les valeurs des autres même si elles sont différentes.

Nous éclairerons ainsi autant ce qui va que ce qui ne va pas ; éclairer autant les faiblesses que les forces avec les aspects réconfortants et encourageants. Cela apporte l’élan et l’énergie pour agir. Nous ne sommes pas réduits à notre problème. Il fait partie de notre vie. Et cette vie est aussi faites d’autres éléments y compris des ressources qui peuvent aider à construire un avenir.  Un jeune peut avoir peur de se tromper d’orientation, de décision amoureuse… en agissant il prend le risque de se tromper. En ne faisant rien il n’expérimentera pas la vie et ses apprentissages qui peuvent passer par des erreurs. Les défauts, les fautes, la fainéantise, les maladresses, l’étourderie, l’insolence… sont des termes utilisés depuis l’antiquité pour qualifier un jeune. Il n’est pas « que ça ».  Les pratiques d’éducation positive seront de bons outils pour découvrir, comprendre, soutenir et animer les potentiels de chacun. Au fur et à mesure cela aura pour conséquence de se sentir plus serin, plus performant, et confiant. La résilience et le bien être augmenteront, tandis que l’anxiété diminuera.

+Education affective relationnelle et sexuelle

Avec l’éducation affective et sexuelle il s’agit de réfléchir tout d’abord à l’aspect affectif de l’existence avec l’axe cœur corps et cerveau.

Le cœur qui ressent et questionne s’il se sent respecté et reconnu pour ce qu’il est. Le corps qui a des besoins fondamentaux parfois mis à mal.

Le cerveau qui discerne « ce que je vis est bien ou mal ? »

Riche des recommandations de la sphère affective, il sera alors possible d’aller vers un questionnement sur l’anatomie et les réactions corporelles, émotionnelles liées à la relation à deux et à la sexualité.

Les points de vigilance font partis de la réflexion avec

  • une explication des moyens de contraception,
  • des discussions autour de la grossesse et de l’IVG
  • une prévention des Maladies Sexuellement Transmissibles

L’attirance sexuelle peut s’imposer et amener son lot de questions : « Suis-je normal(e) ? Vais-je être à la hauteur ? Suis-je attirant(e) ? Comment c’est la première fois ? »

Pulsions, émotions et sentiments peuvent nous déborder… d’où l’utilité de se donner du temps. Rien ne presse. La rencontre nécessite un apprivoisement qui prend du temps, qui demande respect et écoute mutuelle.

Et enfin nous réfléchirons à ce qui peut se partager de l’intimité.  Quel est le sens de l’exposition et la diffusion de l’intimité via les réseaux sociaux ?

Le consentement est impératif. Savoir dire « non » à tout moment est un droit. L’éducation affective relationnelle et sexuelle permet justement de poser des repères afin de gagner en confiance et estime de soi pour oser dire avec conviction ce qui est important pour soi et ce que l’on choisit de vivre et de quelle manière.

Programme de groupe jeunes

Je propose deux types d’interventions pour les plus jeunes : l’éducation positive et l’éducation affective relationnelle et sexuelle.

Pour cela je me déplace dans les structures, Centres aérés, CLSH, Colonies de vacances, Maison de la jeunesse et de la culture, et autres Structures d’accueil.

Je propose également des programmes en distanciel.

+Education positive

Elle peut apporter des réponses au mal-être, aux idées noires, au manque de confiance et d’estime de soi générés par le harcèlement, la violence, l’agression, l’abus, ou l’emprise. Lors d’ateliers d’une heure trente à deux heures je propose de commencer par questionner le ressenti. Se poser la question de comment je me sens, honnêtement et humblement, est le début d’un nouveau cheminement. Puis nous explorerons comment ajouter de l’optimisme, du bonheur et de la motivation dans la vie. Nous fonctionnerons essentiellement avec des discussions et des interactions. Chacun aura la liberté d’exprimer ses convictions et ses valeurs. Et chacun aura le devoir d’écouter respectueusement les convictions et les valeurs des autres même si elles sont différentes.

Nous éclairerons ainsi autant ce qui va que ce qui ne va pas ; éclairer autant les faiblesses que les forces avec les aspects réconfortants et encourageants. Cela apporte l’élan et l’énergie pour agir. Nous ne sommes pas réduits à notre problème. Il fait partie de notre vie. Et cette vie est aussi faites d’autres éléments y compris des ressources qui peuvent aider à construire un avenir.  Un jeune peut avoir peur de se tromper d’orientation, de décision amoureuse… en agissant il prend le risque de se tromper. En ne faisant rien il n’expérimentera pas la vie et ses apprentissages qui peuvent passer par des erreurs. Les défauts, les fautes, la fainéantise, les maladresses, l’étourderie, l’insolence… sont des termes utilisés depuis l’antiquité pour qualifier un jeune. Il n’est pas « que ça ».  Les pratiques d’éducation positive seront de bons outils pour découvrir, comprendre, soutenir et animer les potentiels de chacun. Au fur et à mesure cela aura pour conséquence de se sentir plus serin, plus performant, et confiant. La résilience et le bien être augmenteront, tandis que l’anxiété diminuera.

+Education affective relationnelle et sexuelle

Avec l’éducation affective et sexuelle il s’agit de réfléchir tout d’abord à l’aspect affectif de l’existence avec l’axe cœur corps et cerveau.

Le cœur qui ressent et questionne s’il se sent respecté et reconnu pour ce qu’il est. Le corps qui a des besoins fondamentaux parfois mis à mal.

Le cerveau qui discerne « ce que je vis est bien ou mal ? »

Riche des recommandations de la sphère affective, il sera alors possible d’aller vers un questionnement sur l’anatomie et les réactions corporelles, émotionnelles liées à la relation à deux et à la sexualité.

Les points de vigilance font partis de la réflexion avec

  • une explication des moyens de contraception,
  • des discussions autour de la grossesse et de l’IVG
  • une prévention des Maladies Sexuellement Transmissibles

L’attirance sexuelle peut s’imposer et amener son lot de questions : « Suis-je normal(e) ? Vais-je être à la hauteur ? Suis-je attirant(e) ? Comment c’est la première fois ? »

Pulsions, émotions et sentiments peuvent nous déborder… d’où l’utilité de se donner du temps. Rien ne presse. La rencontre nécessite un apprivoisement qui prend du temps, qui demande respect et écoute mutuelle.

Et enfin nous réfléchirons à ce qui peut se partager de l’intimité.  Quel est le sens de l’exposition et la diffusion de l’intimité via les réseaux sociaux ?

Le consentement est impératif. Savoir dire « non » à tout moment est un droit. L’éducation affective relationnelle et sexuelle permet justement de poser des repères afin de gagner en confiance et estime de soi pour oser dire avec conviction ce qui est important pour soi et ce que l’on choisit de vivre et de quelle manière.